L’Université Athabasca a commandé un sondage Angus Reid sur les nouvelles habitudes des canadiens au niveau du travail, de l’apprentissage et de la vie personnelle en mode post-covid.
Le résultat est intéressant et devrait avoir un impact important sur le futur du développement des compétences reconnus par des microtitres de compétences comme les badges numériques.
Dans le communiqué Canadians Plan to Demand Raises, More Training and Greater Work-Life Balance Post-Pandemic, il y est indiqué quelques éléments significatifs :
- 61 % des Canadiens âgés de 18 à 54 ans ont identifié les « microcertifications » – des formations spécifiques cumulables pour avancer leur carrière – comme quelque chose qu’ils souhaiteraient poursuivre après la pandémie.
- Il a révélé que les attentes en milieu de travail changent de manière significative. Près des trois quarts des personnes interrogées dans cette étude (73 %) ont déclaré qu’elles souhaitaient que les employeurs investissent davantage dans la requalification des travailleurs et l’offre de formation numérique, en particulier compte tenu du passage de la pandémie au travail en ligne. Un nombre similaire (72 %) disent que la pandémie leur a appris qu’ils ne devraient pas avoir à sacrifier leur apprentissage continu au travail ou dans la vie.
- 31 % ont déclaré que s’ils devaient se concentrer sur un domaine de formation pour améliorer leurs compétences professionnelles, ce serait le renforcement de la résilience émotionnelle pour soutenir leur santé mentale. Le renforcement des compétences numériques pour devenir plus avertis en technologie arrivait juste derrière, à 27%.
Certainement une tendance qui se retrouvent dans plusieurs autres pays dans le monde. De quoi soutenir le développement mondial du marché des badges numériques déjà sur une lancée.
